Ravageurs Céréales: Identification & Solutions
Ravageurs des céréales
Ravageurs
Les céréales attirent de nombreux ravageurs pouvant endommager les cultures et réduire leur rendement. Les dégâts les plus importants sont dus aux insectes, mais d'autres ravageurs peuvent nuire à la bonne santé des plantes (nématodes, limaces...). Savoir les identifier et limiter leur action.
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Les pucerons d'automne et la problématique JNO
Pendant l'été, les pucerons se multiplient dans les réservoirs (maïs, repousses de céréales, graminées prairiales...), certains acquièrent le virus de la JNO (jaunisse nanisante de l'orge). Sous l'effet de la densité de population, des ailés apparaissent et vont se poser sur les jeunes semis de céréales. Ces pucerons sont dommageables pour les cultures de part leur piqûre alimentaire s'ils sont nombreux et surtout par le fait qu'ils transmettent le virus de la JNO.
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Viroses des céréales : vigilance, les pucerons et les cicadelles sont là !
Les pucerons d’automne et les cicadelles, sont respectivement vecteurs du virus de la Jaunisse Nanisante de l’orge (JNO - virus BYDV) et de la maladie des pieds chétifs (virus WDV). Les pertes de rendement occasionnées par ces ravageurs sur céréales d'hiver peuvent aller jusqu’à 60q/ha sur orge, voir une destruction complète de la récolte. Surveiller, anticiper et protéger les parcelles est indispensable !
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Cicadelles : vectrices du virus des pieds chétifs
Bon nombre d’espèces de cicadelles sévissent sur céréales et provoquent des dégâts en raison de leurs piqûres alimentaires. Mais la cicadelle des céréales, Psammotettix alienus, est encore plus nuisible : elle est vectrice du virus WDV (Wheat Dwarf Virus), responsable des « pieds chétifs » et de pertes potentielles de rendement supérieures à 20 q/ha.
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Comment se passent l’acquisition et la circulation d’un virus par un puceron ?
Les mécanismes d’acquisition du virus et de circulation par les insectes vecteurs sont extrêmement importants dans la transmission d’une virose sur céréales. Voici quelques explications scientifiques.
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Cécidomyies : le piégeage, clé de la protection raisonnée
Ravageurs sporadiques, les cécidomyies sont en recrudescence depuis plusieurs années en France.
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Grille d’aide à l’analyse précoce du risque Taupin
Cet outil est donné à titre indicatif. Il convient de le compléter par des observations parcellaires et de consulter les éléments régionaux d’analyse de risques comme par exemple les BSV.
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Criocères : trois espèces menacent les feuilles de céréales
Toutes les céréales (orge, blé, avoine, seigle et maïs) et graminées sauvages sont concernées par les criocères.Trois espèces de criocères sont dommageables aux céréales.
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Taupins/Zabres : nuisibilité et facteurs de risque
Polyphages, les taupins sont particulièrement nuisibles dans nos systèmes de cultures : céréales, maïs, pomme de terre, betterave ou même colza peuvent être affectés très fortement. Le zabre, lui, est plus spécifique des graminées. Il est en recrudescence à la faveur de l’augmentation des surfaces de céréales à paille, de la progression des rotations céréalières courtes et du semis direct.
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Facteurs de risque et méthodes de lutte contre les insectes porteurs de virus sur céréales
Combiner les stratégies pour une protection efficace
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Thrips : un minuscule insecte dévoreur de plantules
Le thrips du lin et des céréales, Thrips angusticeps, attaque les plantules de pois dès leur levée.
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Pucerons des épis : affectent le nombre de grains
Le puceron des épis (Sitobion avenae) est un ravageur important des céréales. Les pullulations sporadiques de ses populations induisent des pertes de rendement importantes sur blé. C'est le principal ravageur des céréales au printemps.
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Cécidomyie : la forme orange est la plus nuisible
Les attaques de cécidomyie sont très localisées et requièrent une vigilance à l'échelle de la parcelle. Néanmoins, ce sont 40% des hectares de blé tendre français qui peuvent subir des pertes de rendement dues à la cécidomyie. Les plantes hôtes sont les céréales et le colza.
Avant toute utilisation, assurez-vous que celle-ci est indispensable. Privilégiez chaque fois que possible les méthodes alternatives et les produits présentant le risque le plus faible pour la santé humaine et animale et pour l'environnement, conformément aux principes de la protection intégrée, consultez
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