Toutes les solutions Bayer contre la fusariose
Quand la floraison des blés débute ou est sur le point de débuter, et si les conditions météorologiques sont favorables à l’évolution des maladies (fusariose, septoriose, rouilles), il est essentiel de continuer à préserver le rendement des blés, en relai du T2. Le choix, parmi les solutions Bayer formulées avec du prothioconazole pour bloquer le développement de la fusariose, est large.
Si un traitement est prévu, le choix du produit doit dépendre du risque encouru (Fusarium ou Microdochium), et de la présence d’autres maladies du feuillage.
Pour lutter contre la fusariose, Bayer propose une large gamme à base de prothioconazole : Prosaro (prothioconazole + tébuconazole), Madison (prothioconazole + trifloxystrobine), Fandango S (prothioconazole + fluoxastrobine), Kestrel (prothioconazole + tébuconazole) et leurs démarques.
Gérer le risque fusariose
Avec des conditions climatiques parfois humides au moment de la floraison, les risques fusarioses et mycotoxines peuvent être élevés. Si les températures sont basses, M. nivale se développe, et si elles sont relativement élevées, il faut plutôt faire face à F. graminearum.
Quoi qu’il en soit, il faut savoir anticiper et gérer ce risque fusariose.
La clé de la réussite de ce traitement passe par :
- Le choix d’un produit performant ayant une formulation de qualité
- Appliqué au stade optimal : début floraison
- Avec une pulvérisation de qualité optimale.
« Nous insistons sur le positionnement du traitement au bon stade, le respect de la dose et du volume de bouillie en rappelant que les meilleurs fongicides contre la fusariose n’atteignent que 60 à 70 % d’efficacité à pleine dose. »
La protection contre la fusariose du blé est particulièrement importante car cette maladie est préjudiciable sur le rendement (5 q/ha en moyenne sur les essais pluriannuels Bayer) et sur la qualité sanitaire et technologique des grains (production de mycotoxines et altération de la faculté germinative des grains). Le prothioconazole présente l’avantage d’être aussi efficace sur Fusarium que sur Microdochium, deux groupes de champignons responsables de la fusariose des épis.
La réussite du traitement fusariose dépend de la qualité de pulvérisation

Depuis la récolte 2024, les limites réglementaires en mycotoxines DON et T2-HT2 ont été revues à la baisse : sur céréales brutes (autre que blé dur, maïs et avoine non décortiqués), la teneur maximale pour les DON est désormais de 1000 μg/kg et pour les T2-HT2 (somme), elle est de 50 μg/kg.