Premiers résultats 2025 de Best-a sur le rendement du maïs

Comment se comportent les maïs traités avec le biostimulant Best-a ? Les premières analyses de rendement mettent en évidence une meilleure valorisation par la plante avec un sol possédant une bonne réserve utile en eau ou une texture limoneuse.

De premières tendances se dégagent dans les 160 essais menés en 2025 sur maïs avec sur le biostimulant Best-a. Ce produit améliore l’efficience de l’eau en conduite irriguée, semi-irriguée ou en sec. 

Dans 73 situations, les données sont exploitables pour mesurer son intérêt dans le cadre d’un traitement pratiqué seul sur maïs grain. L’effet de Best-a alors a été évalué en fonction de la réserve utile en eau et du type de sol. 

Gain de rendement dans les parcelles avec une bonne réserve utile

Pour les parcelles, avec une réserve utile (RU) moyenne, de 80 à 120 mm, le rendement progresse de 4,5 q/ha en moyenne, soit 11,1 t/ha pour la modalité avec Best-a contre 10,9 t/ha pour celle non traitée. Au-delà de 140 mm de RU, l’écart se renforce. Le rendement des maïs traités avec Best-a atteignent 11,5 t/ha, alors que le témoin reste autour de 10,8 t/ha. Le différentiel est donc de 7,1 q/ha. 

Best-a améliore le rendement du maïs dans les sols à haut potentiel ou limoneux

Les maïs cultivés sur les sols dont le potentiel de rendement est au-delà de 13 t/ha, réagissent fortement à la biostimulation. En effet, le rendement des maïs traités Best-a augmentent alors de 4,7 q/ha dans un sol limoneux. Il est moindre en sol sableux avec + 1,8 q/ha. Ce résultat est à relier avec le faible niveau de la réserve utile en eau. 

Lorsque le potentiel de rendement est compris entre 8 et 11 t/ha, les résultats sont au rendez-vous en sol limoneux et limoneux argileux. En revanche, l’effet est équivalent sur sol argileux.

Amélioration des composantes de rendement avec Best-a

L’effet de Best-a se voit également sur les composantes de rendement. Ainsi, dans 73 lieux d’essais, les comptages des grains sur les épis indiquent un gain moyen de 37 grains/épi. 
L’amélioration du rendement suggère donc une valorisation plus efficace de l’eau du sol. Ce mécanisme intervient surtout lorsque la réserve utile permet une alimentation régulière en eau.