Le site « La transparence chez Crop Science » est désormais disponible en français !

« Crop Science Transparency », à traduire par « La transparence chez Crop Science ». C’est le nom de notre plateforme web pour faire la lumière sur toutes les questions que pose le sujet des produits phytosanitaires. Désormais disponible en français, ce site apporte un regard scientifique sur cette thématique. Il permet de nourrir vos échanges avec vos voisins, les consommateurs.

Le dossier des produits phytopharmaceutiques est sensible. Il est débattu dans les médias, au sein des instances politiques… et en bordure de parcelle ! De nombreux riverains et habitants des campagnes se posent des questions, et n’hésitent plus à s’adresser directement à leurs voisins agriculteurs. Qui de mieux placé que les utilisateurs de ces produits pour en parler de façon très pratique ? Pour aller plus loin, et notamment apporter un appui scientifique aux agriculteurs, Bayer a lancé le site web « Crop Science Transparency ». En début d'année (le 20 janvier), une version française a vu le jour.

Aborder les produits de protection des plantes sous un angle très scientifique

Que penser de la présence de résidus de produits phytosanitaires dans nos aliments ? Quels impacts peuvent avoir les produits phytosanitaires sur l’environnement ? Sur les pollinisateurs ? Quelle est la plus-value réelle des produits phytosanitaires pour les cultures ?

Le site creuse ces questions en se fondant sur les données utilisées par les autorités pour évaluer la sûreté et la sécurité des produits phytosanitaires, sous un angle scientifique mais accessible. Le cadre réglementaire lié à ces produits est également largement explicité, depuis les critères sur lesquels les autorités s’appuient pour accorder ou refuser l’autorisation de mise sur le marché d’un produit phytosanitaire, jusqu’à la présentation de résumés d’études traitant de la sécurité pour les spécialités Bayer. Les rapports intégraux sont également disponibles sur demande à des fins non-commerciales.

Un site ouvert à tous

Si le site peut alimenter la prise de parole des agriculteurs, il est également ouvert aux visites de tout citoyen ou consommateur. Il leur apporte des réponses aux questions généralement posées autours des produits phytopharmaceutiques, mais aussi un éclairage spécifique sur les démarches menées par Bayer pour prendre en considération la santé et l’environnement dans le processus de développement de ses produits de protection des cultures. Le site propose enfin aux internautes d’entrer en contact avec nos équipes, pour toute question ou suggestion supplémentaire.

Le chiffre à retenir : 318

A ce jour, c’est le nombre de synthèses d’étude sur le glyphosate mises à disposition du public, sur la plateforme de transparence Bayer : des études sur les résidus et le métabolisme (18), sur le devenir dans l’environnement (32), sur la toxicologie (180) et sur l’écotoxicologie (88) de la substance active et des formulations. 107 rapports d’études de Bayer sur la sécurité du glyphosate qui ont été soumis à l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), sont également disponibles.

Des informations plus accessibles pour le citoyen

Rachel Rama, Directrice du Centre de recherche de La Dargoire (CRLD) de Lyon qui a contribué à la production de la version française du site, explique : « Permettre à nos concitoyens de comprendre pourquoi et comment nous réalisons les études d’évaluation de la sécurité de nos produits phytosanitaires est aujourd’hui essentiel. Le site Transparency complète parfaitement les démarches d’ouverture que nous menons au CRLD, avec notamment le Public Friendly Lab, laboratoire d’analyse de résidus de produits de protection des cultures, conçu pour accueillir des visiteurs tout en étant en activité, ou encore le programme Dialog4Ag du LifeHub Lyon. Ce dernier est créé pour offrir à toute personne intéressée par la science, l'agriculture et l’alimentation, une occasion unique de participer à un échange sur mesure avec des chercheurs de diverses disciplines (chimie, biologie, biochimie, analyse des résidus, homologation…).»

« « Un complément à d’autres dispositifs d’ouverture vers le grand public ! » »

Rachel Rama
Directrice du Centre de recherche de La Dargoire (CRLD) de Lyon

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