Avec SiloExtra, Pascal Lebreton tire le meilleur parti de chaque hectare de maïs fourrage

Depuis 2021, Pascal Lebreton, éleveur dans les Côtes d’Armor, cultive les variétés de maïs fourrage SiloExtra pour optimiser l’alimentation de ses 90 vaches laitières. Digestibilité, amidon, rendement : il mise sur l’efficience de ces variétés de DEKALB pour produire plus de lait avec moins de vaches.

Sur les neuf variétés de maïs fourrage SiloExtra de DEKALB, Pascal Lebreton les a presque toutes cultivées ! Depuis 4 ans, il en sème au moins deux sur 20 ha pour nourrir son troupeau de 90 vaches laitières, soit la moitié de sa sole de maïs. Il destine l’autre partie aux maïs grain. « Ce sont des maïs de la gamme S0 et S1, donc très précoce à précoce, qui correspondent bien à mon secteur. »
Mais surtout, ces variétés ont toutes en commun une très bonne digestibilité et teneur en amidon. « C’est toujours bien d’avoir de bons rendements, mais quand on a un maïs très digestible, c’est là qu’on valorise au mieux la ration », explique l’éleveur des Côtes-d’Armor. De plus, la teneur en amidon est tout aussi déterminante : « L’amidon représente la moitié de la valorisation énergétique ». Une qualité essentielle pour atteindre un objectif précis. « L’idée, c’est de faire le quota avec moins de vaches. Il faut donc une ration la plus efficiente possible, témoigne-t-il. Avec les maïs SiloExtra, j’attends cet objectif. »
Digestibilité, rendement, vigueur des maïs : des résultats confirmés sur le terrain
En 2023, Pascal a pu confirmer ce qu’il pressentait depuis deux ans : une meilleure digestibilité des fourrages issus des maïs SiloExtra. Résultat validé par un essai mené sur son exploitation avec un gain de 0,44 kg de lait par vache et par jour. Cela correspond à un complément annuel de 2200 € avec un prix du lait à 400 euros/tonne pour un troupeau de 90 vaches. À cela s’ajoute une tonne de matière sèche supplémentaire par hectare par rapport aux témoins (moyenne issue de 13 essais S0 et 16 essais S1). Il note aussi une meilleure appétence des vaches car les feuilles de maïs se broient très bien à l’ensileuse.
Rendements assurés grâce à une bonne vigueur et tenue de tige
En 2024, les rendements sont de nouveau au rendez-vous : 17,8 t/ha de moyenne. « C’est très bien », assure l’éleveur. Ces résultats découlent de plusieurs critères agronomiques qu’il apprécie : une bonne vigueur au départ, la tenue de tige sécurisante et la tolérance aux maladies. « En raison d’une levée plus rapide, les dégâts des ravageurs comme les corneilles ou les sangliers sont limités, remarque-t-il. On observe ensuite jusqu’à la récolte une meilleure résistance aux coups de vent. »
Une vitrine d’essais pilotée avec précision grâce à FieldView
Habitué aux essais, Pascal Lebreton cultive chaque année une cinquantaine de variétés sur ses parcelles. « Nous avons installé une vitrine d’essais en maïs, mais aussi en colza, en désherbage, en fongicides, en biostimulants… » Pour gérer ce volume d’informations, il s’appuie sur la plateforme FieldView. « Je rentre tout sur la tablette, çela me permet de suivre la biomasse, les interventions et les rendements avec précision. » Une façon de sécuriser ses choix variétaux, de piloter finement ses essais, et de viser une ration toujours plus efficiente.
« Le maïs SiloExtra maïs est très digestible et permet une meilleure valorisation de la ration. »
« Avec les maïs SiloExtra, mon objectif est de faire le quota de lait avec le moins de vaches possible et justement d’avoir une meilleure efficience de la ration. »