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L’alliance de l’agronomie et de la chimie est une réflexion à mener tout au long de l’année. Sur céréales, des leviers offrent la possibilité de réduire la pression parasitaire. Sur colza, n’hésitez pas à avoir recours au biocontrôle : la performance des solutions est aujourd’hui bien réelle. En association avec des spécialités conventionnelles, le biocontrôle offre la possibilité de réduire l’IFT.

Colza : penser biocontrôle

Associer biocontrôle et performance est désormais possible sur colza. Bayer propose deux alliés naturels des programmes :

  • le biofongicide Rhapsody® asssocié à une demi-dose de spécialité conventionnelle assure la qualité sanitaire de la récolte,
  • Contans® WG utilisé en traitement de sol diminue la pression sclérotinia

Blé : prévenir toute maladie

Sur blé, les leviers agronomiques ne manquent pas pour limiter le risque de développement des principales maladies. Variétés tolérantes, enfouissement des résidus de récoltes, date et densité de semis, sont autant de recours efficaces pour limiter la pression de septoriose, rouille brune et oïdium.

Orge : privilégier les mesures agronomiques

Sur orge, les variétés tolérantes et le travail du sol limitent les risques liés à l’helminthosporiose et à la rhynchosporiose. La rotation des cultures fait également partie des mesures agronomiques à privilégier pour réduire la pression parasitaire.

Céréales, colza et pommes de terre appellent à une protection fongicide efficace pour maintenir les rendements. L’heure est au choix des programmes, à l’étude des positionnements les plus adéquats et à la surveillance de la qualité de pulvérisation.

Céréales : prioriser les maladies

Sur blé comme sur orge, les maladies se suivent et se cumulent. La surveillance se déroule tout au long du cycle des céréales pour limiter les risques de nuisibilité, selon la région, la parcelle et les conditions climatiques.

Fluopyram : efficace sur céréales et sur colza

Les SDHI ont fait leur preuve en matière d’efficacité fongicide. Le fluopyram, issu de la recherche Bayer, présente l’avantage d’appartenir à une nouvelle famille chimique. Son utilisation limite l’apparition de résistances croisées. La molécule est disponible sur céréales et sur colza.

Pommes de terre : gare au mildiou !

Principale maladie de la pomme de terre, le mildiou est à surveiller de près. La prophylaxie est de mise, le choix de la stratégie fongicide également.

La protection fongicide, sur céréales comme sur colza, s’anticipe et se raisonne au travers d’un programme ou d’une application. Objectif : sauvegarder le potentiel de rendement des cultures en optant pour la stratégie la plus efficace, celle qui vise les principaux risques maladies. Ne pas oublier d’alterner les molécules afin de prévenir toute résistance.

Céréales : prévenir les résistances

La résistance aux fongicides se développe. Or la sauvegarde des molécules efficaces est en jeu. Pensez alternance des modes d’action !

Blé : un T2 pour 3 maladies

Sur blé, le T2 demeure primordial pour réduire les potentielles pertes de rendement liées à la septoriose, mais également à la rouille brune et à l’oïdium. Des solutions polyvalentes bien positionnées offrent la possibilité d’agir sur les trois maladies.

Sclérotinia sur colza : intervenir au bon moment

Contre le sclérotinia, principale maladie du colza, le top départ de la protection est donné dès l’apparition du stade G1 de la culture. Pour optimiser l’efficacité du traitement fongicide, les interventions se positionnent à partir de la chute des premiers pétales.

Sur céréales, la protection des épis prend le relai de celle de la feuille dès la mi-mai. Le risque fusariose est à suivre pour éviter toute perte de rendement et assurer la qualité sanitaire de la récolte. La présence de mycotoxines dans les grains représente un enjeu majeur, quel que soit le débouché.

Céréales : prévenir et gérer le risque fusariose

La fusariose et les risques mycotoxines associés sont nuisibles à l’alimentation humaine et animale. Blés tendres et blés durs appellent à une protection efficace.

Protection fusariose : des céréaliers et éleveurs témoignent

Préserver la qualité des blés, et assurer notamment l’absence de mycotoxines induites par la fusariose, est essentiel pour au moins deux raisons : éviter tout déclassement et pouvoir fabriquer l’alimentation de son bétail. Céréaliers et éleveurs témoignent sur la nécessité d’une protection efficace des épis.