27/08/2018 Partager :FavorisPoint de repèreProfil de la maladieOïdium : une maladie en régression L'oïdium de la betterave, Erysiphe betae, est la maladie foliaire cryptogamique la plus régulièrement présente dans toutes les régions de production. Depuis 2007, une régression de la maladie est toutefois constatée, notamment en raison de la concurrence de la cercosporiose. MaladieCercosporiose de la betterave La cercosporiose conduit à une disparition du feuillage et à la formation de repousses. Cette maladie foliaire, qui apparaît au sein d’un foyer avant de gagner l’ensemble de la parcelle de betterave, peut engendrer des baisses de 30 % du poids racine et de 2 points de richesse. Le retour fréquent de la betterave sur la parcelle et l’irrigation favorisent son développement. Profil de la maladieRouille : surveillez l'apparition des pustules La rouille de la betterave, Uromyces betae, n'est pas la maladie cryptogamique la plus nuisible. Mais elle peut tout de même, en générant une diminution de la nutrition de la plante et un dessèchement foliaire, engendrer des pertes de 10-15 % de rendement racine et de 1 % de la teneur en sucre. Elle peut également, en cas de forte attaque, diminuer la pureté du jus. Profil de la maladieRamulariose : un retour flagrant depuis 2007 La ramulariose, maladie foliaire de la betterave due au champignon Ramularia beticola, refait parler d'elle depuis 2007 dans l'ensemble des zones de production. Elle est susceptible de diminuer le rendement racine de 5 à 20 % et d'engendrer une perte de teneur en sucre de 1 à 5 %.Conseil PhytoRhapsody®, première solution de biocontrôle efficace contre la... La solution de biocontrôle Rhapsody® est le partenaire des programmes fongicides en culture de betteraves, non seulement pour gérer les problèmes de résistance de la cercosporiose, mais aussi pour réduire jusqu’à 50 % l’Indice de fréquence de traitement (IFT) ! Profil de la maladieCercosporiose : rapide et très nuisible La cercosporiose, Cercospora beticola, est une maladie foliaire susceptible d'engendrer des pertes de rendement racine pouvant atteindre 30%, avec une baisse de richesse de 1 à 2 points.