Pour la protection fongicide de leurs cultures céréales, des agriculteurs ont testé Prosaro® et nous en parlent

Trois agriculteurs ont expérimenté le fongicide Prosaro® pour gagner en efficacité dans la protection de leurs cultures céréales. Nous sommes allés recueillir leurs témoignages.

En l’absence de protection, la fusariose peut avoir des conséquences importantes : des pertes de rendements, mais aussi une altération de la qualité technologique et organoleptique des grains et des risques sanitaires, liés à la production de mycotoxines.

Alliant prothioconazole et tébuconazole, Prosaro® montre toute son efficacité pour la protection fongicide des céréales à l’épiaison contre la fusariose. Trois agriculteurs ont testé le produit et livré leurs témoignages face caméra. Rencontre avec Denis, agriculteur de blés tendres en Île-de-France, Régis, agriculteur de blés durs dans le Lauragais et François-Xavier, agriculteur et éleveur de porcs en Bretagne.

« La prime qualité est suffisamment importante pour qu’on privilégie un traitement fongicide efficace au moment de l’épiaison »

Pour Denis, agriculteur par passion sur 200 ha de blés tendres en Île-de-France, la préservation de la qualité sanitaire du blé est essentielle : « Prosaro®, je l’utilise sur les blés améliorant, à l’épiaison, au moment de la floraison, afin de lutter contre les fusarioses. On cherche à avoir des blés de qualité et c’est un produit qui nous donne tout à fait satisfaction. »

Prosaro® se compose de 2 matières actives le prothioconazole et tébuconazole. Un vrai plus pour cet agriculteur pour qui la « prime qualité » compte avant tout : « C’est le produit leader sur le marché par rapport à un produit générique où il n’y a qu’une matière active, le tébuconazole. C’est plus cher qu’un générique, mais ce qu’on cherche c’est aussi l’efficacité et pas uniquement le prix. C’est le rapport qualité prix, c’est le retour sur investissement. Si je n’arrive pas à commercialiser mes blés améliorants en meunerie, je vais retomber sur un marché classique, et la prime qualité, je ne l’aurai pas. Et la prime qualité est suffisamment importante pour qu’on privilégie un traitement fongicide efficace au moment de l’épiaison. »

« Prosaro® est un produit haut de gamme. Je l’utilise parce que je n’ai pas le droit à l’erreur. »

Régis, agriculteur dans le Lauragais (31), utilise Prosaro® sur blé dur, une culture particulièrement sensible aux maladies fongiques : « Quand j’implante mon blé dur après un précédent maïs, je dois prendre en compte une augmentation des risques de fusariose. Cette maladie peut détruire la qualité très rapidement. Et si le printemps est pluvieux, la fusariose peut avoir des conséquences très néfastes. ».

Bien que Prosaro® soit plus cher qu’un produit contenant une seule molécule, sa meilleure efficacité apporte un meilleur retour sur investissement. Et c’est essentiel pour cet agriculteur : « Il serait dommage de perdre une partie de son revenu si la qualité de mon blé dur était dégradée à cause de la fusariose. (…) Prosaro® est un produit haut de gamme. Je l’utilise parce que je n’ai pas le droit à l’erreur. Quand on a des cultures de blés durs avec un potentiel significatif, c’est dommage de perdre une partie de son revenu parce que la qualité s’est dégradée à cause de la fusariose. Il y a effectivement un investissement qui est plus important ponctuellement, mais depuis que je fais ce programme, je n’ai plus de problèmes de fusariose. On peut donc estimer que c’est efficace. »

« Une mauvaise qualité du grain peut avoir des répercussions sur la croissance des cochons, leur consommation d’aliments »

Parce que les procédés industriels permettent difficilement d’éliminer les mycotoxines, et que ces processus sont onéreux, il faut que la matière première soit la plus saine possible. Les éleveurs qui alimentent leur cheptel avec les céréales qu’ils cultivent savent toute l’importance d’avoir un grain de qualité.

Pour François-Xavier, agriculteur sur 150 ha et éleveur de porcs en Bretagne, la qualité de l’alimentation donnée à son élevage est essentielle : « Une mauvaise qualité du grain peut avoir des répercussions sur la croissance des cochons, leur consommation d’aliment. (…) On cherche à avoir un épi sain, qui nous permet de leur distribuer du grain de qualité, protégé contre les mycotoxines ».

« C’est une fierté de nourrir les gens avec des produits de qualité »

François-Xavier
Éleveur de porcs en Bretagne